Dossier de Presse

A La Frontière Des Sentiments

Un Ange M'a Dit

De Chris SAVIGNAN

1ème Edition – 13, 17 et 25 août 2016

Format 15,6×23,4 – Bookelis

Collection – Soluble dans l’Air

230 pages en couleur – 30 euros

230 pages en noir et blanc – 24 euros

186 pages sans photos – 18,50 euros

ISBN Couleur : 979-10-227-4635-9

ISBN Noir et blanc : 979-10-227-5431-6

ISBN Sans photos : 979-10-227-5331-9

Livre français – Version adaptée

Distributions : groupe HACHETTE

Et BOOKELIS

Document Officiel Et Authentique De L’Ambassade Du Cœur Et De L’Amour.

Recueil de 67 titres, poèmes, citations, proses,

Dédicaces, lettres, essais, lyrics et 46 illustrations

En couleur ou en noir et blanc, ou sans photos

Avec la contribution non lucrative

D’Amélie Florino et de Valentine Fiona Vénusa.

Une île au milieu de l’océan Indien, un parfum de vanille, une rose rouge en bouton, un volcan en éruption, une pointe de pureté enfermée dans un écrin de velours, un exotisme sentimental, roman-tique, sensuel, taquin et coquin, dans cette éclosion d’une flamboyante résilience, telle est l’essence de ce premier recueil. Des cascades de mots vous offriront la naissance d’un sentiment amoureux et vous emporteront, avec grâce et délicatesse, dans les coulisses d’une belle envolée, située à la frontière des sentiments. Mais, qu’appelle t’on la frontière des sentiments ? Où se situe t’elle ? Pourquoi et comment on s’y retrouve ?

A la frontière des sentiments est à la fois, un hymne à l’amour et à l’idépendence émotionnelle, du moins, elle l’invite à l’acquérir et en expose les raisons les plus sombres comme la violence conjugale, le suicide sentimental… cet hymne à l’amour évoque l’importance de se reconstruire ou de renaître par l’amour, qu’il soit une affection amoureuse ou amicale ou les deux, ou encore familiale ou dans les pires situations uniquement de soi. Cependant, il ne néglige pas l’importance de se construire, avant un engagement de cœur, pour avoir suffisamment de maturité et pouvoir faire face aux pires et aux meilleurs de la relation de couple, ou de se reconstruire, après de grosses déceptions ou de violences subies, une solide identité émotionnelle, tout en vivant pleinement et prudemment ses autres et futures histoires d’amour. Et dans ce recueil, il s’agit essentiellement d’une reconstruction suite à une rupture amou-reuse, pour des faits de violence psychologique et physique.

A la frontière des sentiments s’agrémente de belles photos en illustrations, afin d’éveiller nos sens (non pervers) et de s’immerger, dans ses signes et ses mots, ses vers et ses lyrics.

Résumé

Un brin de romantisme, une âme blessée. Un soupçon de tendresse, un cœur brisé. Une pointe de sensualité, un corps déchiqueté. Une miette d’exotisme, un départ imminent. Une pleine conscience, une vie bouleversée. En bien ou en mal, l’amour fait parfois des ravages et se situe pour alors, à la frontière des sentiments. Femme fatale, fleur bleue, enfant…, nous en sommes toutes, tôt ou tard, exposées ou susceptibles de l’être. Rares sont les réelles exceptions. Découvrez à travers ce recueil album en couleur ou en noir et blanc, de proses, lettres, poèmes, lyrismes poétiques et musicaux, citations et d’essais, divers regards et émotions de femmes qui, un jour, se sont retrouvées confronter à une résistance ou à une reconstruction émotionnelle, afin de conserver sa nature de femmes féminines et aimantes, mais pas à n’importe quel prix ni avec n’importe qui.

À La Frontière Des Sentiments

BIOGRAPHIE DE L’AUTEURE

Je m’appelle Chris SAVIGNAN, je suis née le 23 janvier 1969, à Saint-Denis de la Réunion. Si je devais écrire l’histoire de ma vie et le fond de mes pensées, elle ne comporterait pas moins de mille pages. Je suis écrivaine. Mes œuvres se composent de deux collections : À Vos Rêves et À Vos Amours. La première comporte un roman en quatre volumes, la seconde contient deux recueils : À La Frontière Des Sentiments Recueil 1 Un ange m’a dit et recueil 2 Amour, amitié et vague à l’âme. Mes passions durant mes temps libres et entre deux crises fibromyalgiques ou symptômes épileptiques sont la méditation, la composition musicale, l’acrylique artistique et la photographie.

Je suis philosophe humaniste, sans engagement politique ni religieux. Mon parcours scolaire va de la crèche à la maternelle, puis du primaire au baccalauréat, pour s’arrêter au Deug de Science-Économique. J’écris depuis le collège, suite à un concours de poésie, proposé par l’établissement. Mais l’idée d’écrire ce premier recueil est apparu durant la fin de la rédaction du tome 2 de mon roman, Pendant que je m’investissais à mon art et ma passion d’écrire, mon futur ex travaillait et peaufinait son art de manipulateur destructeur psychotique. À la longue, déstabilisée, je ne parvenais plus à entreprendre quoi que ce soit. Je me sentais anéantis et ma santé s’en trouva très affectée. Perte d’identité, perte de repères, asseulée, dénigrée, sous le poids de ses menaces et actions destructives, j’ai décidé de replonger dans ce qui m’a toujours aidé à sortir la tête de l’eau et à rester à la surface, la musique et la poésie. Mais l’élément moteur qui a influencé mon passage à l’acte a été de voir dans un reportage, des jeunes adolescentes se prostituer, entre 12 et 14 ans, avec de vieux porcs très aisés, alors qu’elles sont issues d’une famille équilibrée et harmonieuse, dans laquelle l’éducation est respectable. Non pas que les autres cas ne me touchent pas, mais j’ai été sous le choc de voir et d’entendre ses jeunes filles, car je découvrais cet aspect incohérent d’une destinée. Même si nos expériences sont différentes, la vulnérabilité reste la même, il n’y a que le prédateur qui n’appartient pas à la même catégorie, dans leur genre. Le point en commun entre ses adolescentes et ce recueil, c’est que tôt ou tard, elles peuvent être amenées ou peuvent désirer de se reconstruire et de s’informer de l’existence des autres prédateurs que les leurs, par le biais de la lecture. Mais quiconque doté d’une simple curiosité ou un désir d’apprendre de façon passive, les méandres de l’exis-tence est aussi convié, car lire permet d’avoir un certain recul et surtout une capacité de mémorisation de ce que l’on aura découvert, bien plus avantageux, on peut lire autant de fois que l’on veut et le coût d’amor-tissement est moins élevé, pour les faibles ressources ou budget culturel.

En me rapprochant de certains psychologues et groupes spécialisés au sujet du manipulateur destructeurs alias pervers narcissique, je me suis rendue compte que je n’étais pas la seule, dans cette épouvantable situation. Voilà qu’un jour, je tombe, par hasard, sur une ancienne amie qui avait vécu, une situation du même genre, mais qui avait réussi, grâce au soutien de sa famille, à s’en sortir aisément. Me sachant seule face à mon pro-blème, elle me propose de me céder les droits de son petit recueil, à condition que je l’améliore, avec la parti-cipation d’une de nos connaissances en commun qui, ayant pu s’en sortir, quelques temps plus tard, me cède également ses droits, tout en me réclamant le silence sur leur identité. C’est ainsi qu’est né, À La Frontière Des Sentiments, avec la promesse de respecter leur anonymat.

Finalement, le fait d’avoir créé ce recueil m’a permis, non seulement de ne pas sombrer dans la déprime, mais aussi de retrouver confiance en moi et de retrouver le sens de l’écriture romanesque. Par conséquent, j’ai pu reprendre mon roman et écrire ou le réadapter, avec romantisme, certains passages de la trame, pour laquelle il était nécessaire de conserver une féminité, mais aussi d’éveiller la part du masculin qui sommeille en chaque femme et qui provient, surtout, des attentes que nous nous créons en matière de relation amoureuse.

Lorsque nous traversons une situation relationnelle difficile, voire violente, nous devenons des sujets vul-nérables et des proies faciles à tout prédateur et tout arnaqueur, parfois sectaire ou radicaliste. Nous nous retrouvons, malgré nous dans un carrefour où plusieurs voies s’offrent à nous. Certaines s’y lancent, sans réfléchir et d’autres se penchent sur des questions d’identité et existentielles, pendant leur avancée et leur ascension, vers elle-même et quelques-unes s’isolent, pour lire ou méditer ou ne rien faire. Quelles que soient nos techniques, elles aboutissent, tôt ou tard, sur un choix décisif, celui d’une des voies de ce carrefour qui porte aussi le nom de Frontière des sentiments.

La question qui reste à résoudre réside dans l’échéance du temps passer à cette frontière. Peut-on y rester à vie ?